Morphologie : Être humanoïde entièrement noir, entouré d'une aura tout aussi noire qui empêche de distinguer précisément les contours de leur corps.
Régime alimentaire : L'espoir, mais uniquement pour compenser la douleur interne qui les détruits.
Origine : Humains morts d'une morts violente, trahis par un proche en général, durant le Grande Panique.
Caractéristique spéciales : Télépathie, manipulation des pensées, se battent avec un poignard. Ne meurt qui si on touche mortellement la tête. Vouent une haine sans borne à l'espèce humaine, source de leur douleur. Vivent et se déplacent dans les lieux sombres, bien que la lumière ne leur soit pas mortelle, juste gênante. Rancuniers. Fort grâce à leur suprématie mentale, mais faibles au corps-à-corps.
Reproduction : Les Ombres n'ont pas de sexe, mais elles n'en sont pas moins capable de se reproduire. Toute Ombre peut porter la vie. Durant la grossesse une Ombre est absolument invincible, il est impossible de la blesser de quelconque manière, en contrepartie, ses pouvoirs sont annulés.
Durée de gestation : Trois mois.
Hiérarchie : Elles obéissent à un "Père", qui est désigné de manière naturelle, ou quand une Ombre a vaincu le père précédent, mais sans le tuer. Le père est pourvu d'une arme supplémentaire : son bras s'allonge pour devenir une lance tranchante. Il a droit de vie et de mort sur ses filles, et décide la direction générale de l'espèce.
Habitat : Vivent dans la forêt entre Brütal et New Hope, on ignore encore s'il y en a d'autres ailleurs.
Pdv de l'auteure : J'ai créer les Ombres car il me fallait des ennemis puissants, mais pas invincible. Et les Ombres me sont venue naturellement. Je crois que ces monstres ont toujours était là, quelque part, tu vois ce que je veux dire. Ces mouvements qui n'en sont pas dans le noir, ces cauchemars que tu fais. La peur du noir, de l'inconnu. Et d'un autre côté, elles m'ont permit d'exploiter à fond le thème principal du récit : la perte d'humanité. Elles sont inhumaines, alors qu'elle ressentent des émotions humaines ! Et, à leur contact, même si c'est pour les combattre, nos héros ont du renoncer à une partie de leur humanité. Elles sont la bête qui repose au fond de chacun de nous, mais que la société nous pousse à enfouir au loin, et à oublier. C'est avec elles que je me suis poser tout un tas de question. Être humain, ça veut dire quoi au final ? C'est être comme la société nous l'ordonne ? Mais dans ce cas, l'humain, la bête humaine au fond de nous, ce qu'on est au naturel, quand on ressent des émotions extrême, c'est quoi ? L'humanité, dans le sens "caractéristique", et non pas "espèce" du terme, ce serait une chose qu'on aurait créer pour pouvoir vivre ensemble sans s'entretuer ? L'humain est naturellement égoiste, on le sait, on le condamne, mais on est tous pareil sur ce point. La gentillesse naturelle est quelque chose que l'on trouve exceptionnel, pourquoi ? Perdre son humanité, ce serait redevenir l'humain naturel ?
Tout autant de question que je me suis posée durant l'écriture. Je n'ai pas trouvé toutes les réponses, mais j'ai désormais les miennes. Si vous vous les posez, c'est à vous de chercher une réponse.