Rive - RP ALFDM

(Merci Méta)

Ville crée peu après la Grande Panique, dirigée par une femme séche et placide : Fanny Speloza. Ce groupe originaire d'Espagne s'est rapidement agrandis, étant placé près d'une des anciennes capitale du monde. Cependant, la contestation s'est vite établit, la façon de diriger de la jeune femme portant plus sur la dictature que sur la démocratie, bien qu'elle ne soit pas particulièrement avide de pouvoir. Elle tenait simplement à tout gérer, entraînant, selon certain, la ville à sa perte.
Les rebelles ayant quittés la ville depuis longtemps maintenant, celle-ci est davantage axée sur une sorte de course à l'armement que sur la survie pure et simple, délaissant l'agriculture au profit de cette rivalité. Les agriculteurs font de leurs mieux pour assurer quand même l'avenir de la ville, mais cela commence à être laborieux.

Elle n'en croyait pas ses yeux, après avoir longuement erré à la recherche de survivant elle venait d'arriver devant ce qui semblait être une ville. Elle restait devant les portes sans pouvoir réagir.

De l'autre côté des portes, sa présence avait été alertée. Une douzaine de fusil était désormais braqués sur elle.
Fanny Speloza, sous la surveillance de tout ses soldats, sortit et se campa devant elle, la main sur son revolver coincé dans sa ceinture.
"Déclinez votre identité. Maintenant."

Elle leva les mains en l'air en voyant tout les canons pointé vers elle et s'adressa a la jeune femme qui venait de lui parler:
"Je m'appelle Metaryu et j'était à la recherche de survivant lorsque je suis arrivée devant votre ville je ne vous veux aucun mal."

Un nouvel arrivant.
Un nouvel arrivant ! Une nouvelle potentielle recrue.
Fanny fit un signe de main, les armes sur la murailles furent rangées.
"Vous savez vous battre ? Manipuler une arme ? En fabriquer ?"

Étonnée elle regarda son interlocutrice pendant un instant en voyant le bref changement de comportement puis soulagée de ne plus voir les canons pointée vers elle elle lui répondit:
"Euh... Je connais un peu le self défense par contre je ne sais pas manier ni même construire une arme désolée."

Fanny se renfrogna.
"Tu apprends vite j'espère..." Souffla-t-elle. "On est pas une auberge de jeunesse ici, on veut bien t'abriter, mais il te faudra te plier à nos règles et être utile, capish ?"

Le jeune homme s'approcha de l'enceinte de la ville et de ses portes.
"- Tiens ! Enfin un truc...depuis l'temps..."
Il rangea son Tanto (Couteau de 30 cm) dans son fourreau et son arme de poing, son Beretta M9 9mm dans son dos.
"- On va enfin pouvoir souffler."
Il s'approcha donc des portes et les observa. On est où précisément ? Fut la première chose qu'il pensa. Il espérait qu'une chose: Être plus tranquille et arrêter de toujours devoir dormir qu'à moitié.

La jeune arrivante à peine poussée à l'intérieure de la ville, Fanny du se retourner pour faire face à un homme.
"Je suppose que toi aussi tu veux nous rejoindre" Lacha-t-elle en préambule. "Je suis Fanny Speloza, dirigeante de Rive. Qu'est ce que tu sais faire ?"

Un sourire presque carnassier prit place sur son visage.
"Tuer des Ombres." Lâche-t-il sur un ton carnassier.

[Côté Schizo !]

Fanny sourit. Celui-là était interressant.
Elle lui tendit la main.
"Bienvenu à Rive, tueur d'Ombre, suis-moi."
Elle lui saisit la main, et l'entraîna à l'intérieur de la ville. Une petite ville, vivant au rythme des machines fonctionnant à l'énergie humaines.
"Tu sais te servir de quelles armes ?"

Il sourit, un sourire franc cette fois-ci.
"Bonjour. Je me nomme Mathias pour préciser."

"Arme à feu, de poing et mitraillette. Tanto, couteau. Et arc. D'ailleurs si on pourrait m'en fournir un, je sais faire des trucs cool avec..."

Fanny le guida dans le dédale de la ville, jusqu'à un stand de tir un peu délabré.
Elle lui tendit son propre révolver, et indiqua d'un mouvement de tête la cible trouée qu'elle venait de recouvrir d'une grande feuille de papier.
"Montre moi."

"Pas besoin."
Il sortit son Beretta et prit un pose qu'on y reconnaîtrait un soldat et tira trois fois.

Trois tirs parfaitement triangulaire au centre parfait de la cible.
Un bon tireur. Le meilleur qu'elle n'ai jamais vu.
Fanny glissa son regard vers Mathias.
Elle devait à tout prix en faire un fidéle à sa cause. Son arme.
Mais elle ne devait pas flatter sa fierté pour cela, mais le pousser à montrer plus, à faire plus.
"Pas mal. -dit-elle en retournant à ses côtés, avant d'étaler un arsenale de couteau de jet devant lui- et avec ça, tu sais faire quoi ?"

"Un truc sur quoi je me suis longtemps entraîné. Yeux bandé, éviter une cible humaine."

"Interressant, j'aimerais bien vérifier ça très bientôt."
Une idée germa dans son esprit, ça y est, elle savait comment conquérir ce soldat, s'assurer qu'il demeure acquis à sa cause.
Elle regarda l'heure, 16h... Elle n'avait plus le temps de s'attarder.
Elle l'invita à le suivre, affirmant qu'ils reprendraient ces test dans la soirée. Elle lui montra l'emplacement de son bureau, qui était aussi sa maison, et lui confia les clé d'un des appartements de l'immeuble non loin, lui soufflant que plus il ferait ses preuves, plus il aura droit à davantage d'espace et de confort.
"Je dois faire le tour des mes troupes, et faire mon boulot de dirigeante. Retrouve moi vers 20h devant mon bureau, j'ai hate de voir l'étendue de tes autres capacité." Dit-elle sur un ton félin, provocateur et terriblement tentateur, s'étant approcher de lui plus que nécessaire avant de lui tourner le dos et de s'éloigner, le laissant seul.

"20h ?!"
Il se gratta la tête, frappant nerveusement le sol.
Est-ce que je vais avoir le temps ? sacrebleu... Math' t'es con.
Il se dirigea vers sa nouvelle habitation et entra.

L'appartement était assez précaire. Un seau d'eau, un ticket de rationnement, du pain rassi dans ce qui voulait être une cuisine. Un lit une place qui était, lui, plutôt propre, bien fait, et qui avait l'air moelleux, non loin duquel se trouvé, collé au mur à côté de l'unique fenêtre, une bibliothéque remplie de livre sur la guerre, les armes et les techniques de combats et de survie. Au milieu de tout ça gisait une table assez agée, et deux chaises dont une était trouée.
Mais sous la tablé était masqué un papier qui attira son oeil, un appel à l'aide, d'un certain Laref.
[Cap'taine obvious : c'est la quête que t'as accepté. (t'as vu comment jsuis sympa et que jte ménage le début de la quête ? ça va pas durer. XD)]

"Mouais...ça fera l'affaire..."
Il soupira et posa son sac sur la table et prit la note.
Sa lecture finie, un sourire sadique prit place sur son visage.
Il s'assit et posa la note, pour s'occuper il lit un livre et prépara ses armes jusqu'à l'heure pour rejoindre ce fameux Laref.

[xD]

L'horloge sonna, d'un crissement aigu, 17h quand Mathias songea à relire le papier.
"J'y serais à 14h... Je rentre à 19h"

Aïe... Bon...tant qu'à faire, allons-y !
Il sortit donc et se rendit sur les lieux indiqués et chercha des yeux l'homme.
Mathias, lui avant son sac sur le dos et une main sur le manche de son Tanto.